Préférons toujours le respect à la tolérance.
Un respect qui s’accompagne de la réciprocité.
La tolérance pousse à la passivité voire à l’endormissement.
Nous tolérons car – dans le cadre de nos valeurs – nous ne pouvons faire autrement. C’est le moindre mal exprimé par Monsieur Matthias Storme (voir ci-après).
Qu’en est-il de ce que nous tolérons? De celles et ceux dont nous tolérons des attitudes ou des modes de vies si différents des nôtres? Est-ce réciproque?
Nous devons revendiquer au nom du respect – dû à tout être vivant – le droit de ne pas respecter l’irrespectueux. Jusqu’à l’interdiction.
Qui décide de ce qui est interdit?
Comment la décision est-elle prise?
Comment est-elle exécutée?
Qui maîtrise la bonne exécution de l’interdit?
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