A la recherche de la liberté …
« Ni bourreau, ni victime ni sauveur » avais-je écrit en 2004 dans la mise en garde du manifeste « Démocratie ou démocrature, visite avec un citoyen».
Mon chemin est simplement celui de la tentative d’être libre et … responsable.
Homme de pensées, j’adhère à la liberté de penser et de penséeS.
Depuis fort longtemps, je m’interroge sur des questions que je trouve majeures dans notre société: la démocratie, la dette publique, le développement durable. Je suis également préoccupé par la paix (ici et ailleurs) et par la Constitution, texte fondateur de l’Etat.
Mes réflexions sont traversées par deux constantes: j’ai la volonté de percevoir la réalité (les faits et l’âme des faits) et de tenter de trouver d’autres chemins que ceux habituellement empruntés par la société.
Frondeur ou recherche de réponses aux difficultés rencontrées?
Liégeois sûrement, volontaire aussi.
Je cherche à aborder l’essentiel en faisant l’impasse sur l’immédiat afin de pouvoir agir dans l’immédiat tout en construisant l’essentiel.
Mon dessein est de développer une pensée sous la forme d’une contribution politique tant à la Polis qu’à la Res publica tout en conservant chaque fois à l’esprit le développement d’une dimension pratique de la pensée.
Je tente d’adopter une approche transversale des questions pour une pensée et une action prospectives et ainsi destinées aux enfants et petits enfants; particulièrement ceux en état de survie.
Ce n’est pas le pouvoir qui m’intéresse mais la prise de conscience. Paradoxalement, cette attitude pour les êtres de pouvoir est presque impensable.
En quelque sorte, mon souhait est d’être philosophe – au sens antique du terme: ami de la sagesse; la sagesse en tant qu’action juste – dans l’action, avec un enthousiasme et une ardeur renouvelés à chaque nouvel essai.
Philosophe dans l’action. Un chemin.
Il s’agit d’aller de l’avant, d’agir, d’avoir aussi le goût de la découverte.
Le chemin que je privilégie est celui de la pensée et de la confrontation constructive avec les
autres.
Se posent encore à moi des questions existentielles:
Vivre, serait-ce “Faire, être, avoir et aimer”?
Vivre, serait-ce “Pouvoir faire, pouvoir être, pouvoir avoir et pouvoir aimer”?
Continuer la route …